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Donald Trump, au contraire du personnage joué à l’écran par Leonardo DiCaprio dans le film d’Alejandro Iñarritu, The Revenant, n’est pas un fantôme. Il ne revient pas, il arrive. Il est comme le grizzly fonçant sur DiCaprio qui n’a même pas de moufles pour se défendre. C’est d’ailleurs une des étrangetés du film d’Iñarritu de plonger ses personnages dans les eaux glacées du grand nord canadien, cela comme s’il s’agissait d’un immense jacuzzi.
Tel est désormais l’enjeu, pour tout « message » en provenance de la planète Shoah, d’échapper au ras le bol. L’unique en butte à la banalisation, c’est une ritournelle propre aux temps que nous vivons. Peut-on exorciser cela ? Et si l’acte de lire est rendu vain, par quoi le remplacer de plus efficace ? Et d’ailleurs au fait, qu’est-ce que lire ?
Le 2 mars à 18h, Michel Crépu sera l'invité de la librairie Ombres Blanche à Toulouse
Hier après midi, le vent soufflait sur la Seine, au milieu des mouettes. On causait de Moby Dick à l’émission « La Compagnie des auteurs » de Mathieu Garrigou-Lagrange sur France Culture. L’américaniste littéraire Michel Imbert évoquait la place unique du roman de Melville dans l’imaginaire « national » américain. On met des guillemets à « national » parce que le monstre marin, c’est tout de même autre chose que les pinailleries habituelles sur l’« identité » auxquelles nous sommes maintenant habitués.
(Ré)écoutez la chronique de Michel Crépu « En compagnie des revues », diffusée dans l'émission de France Culture « En compagnie des auteurs ». Au sommaire de l'émission du 16 mars : Louis Aragon, compagnonnage communiste