Le blog de Michel Crépu

1 ... 6 7 8 9 10
  • Donc la Chine
    | Publié le : 27/05/2021

    Jean-François Even est cinéaste, poète, écrivain, il a publié aux Éditions des Sourciers un recueil de poèmes sous le titre Poèmes flottants, Où seul dans sa chambre et quelques autres poèmes qui se laissent lire. Il a vécu longtemps à Wuhan en Chine, s’occupe de cinéma. Il en a tiré un récit de voyage aux Éditions Véda, Souvenirs de Wuhan, qui vaut bien la peine d’un moment d’attention.

    > Lire la suite

  • Le chat Sorin qui s'en va tout seul
    | Publié le : 20/05/2021

    Il lisait ses livres comme d’autres le narguilé. Raphaël Sorin, qui vient de mourir à 78 ans, était un fabuleux lecteur au sens où il faut entendre le mot « fabuleux » dans les « Mille et une nuit ». Sans bouger, aux aguets comme un chat, toujours dans un demi-sourire de complicité avec les puissances occultes du langage.

    > Lire la suite

  • Un portrait dans le temps
    | Publié le : 06/05/2021

    Monsieur de Créquy de Bonne, de Châtillon-sur-Chalaronne, abonné de longue date à La NRF, nous écrit : « Les malheurs du temps m’invitent à prendre la plume puisque personne n’a l’air de prendre ses responsabilités.

    > Lire la suite

  • Isaac Babed dans la gueule du monstre
    | Publié le : 29/04/2021

    Le guetteur du blog sonne l’alarme. Attention ! Deux livres à ne pas laisser passer.

    > Lire la suite

  • Windsor, papillon de nuit
    | Publié le : 22/04/2021

    Quelque chose nous dit que nous n’avons pas tout à fait épuisé la magie de ces images en provenance de la chapelle des Windsor. La reine à son banc, trois rangs en avant, complètement seule. On dirait un papillon de nuit épuisé qui a trouvé le moyen d’entrer là. Quelques instants de repos avant de reprendre la route. Sauf qu’il n’est pas question de remonter vers le nord, comme l’autre jour les oies sauvages, à la file, dans l’immense bleu d’avril.

    > Lire la suite

1 ... 6 7 8 9 10
 
Recevoir une alerte à chaque publication d’un article

Derniers articles

Houellebecq, son nom de Beaugency dans Paris désert Houellebecq, son nom de Beaugency dans Paris désert
Avec sa reliure façon « club français du livre », le dernier ouvrage de Michel Houellebecq semble une édition de luxe d’un grand roman d’Henri Troyat, du temps où les romans étaient conçus comme des armoires normandes, pour durer très longtemps. Qu’en sera-t-il de ce monstre narratif où l’auteur des Particules a voulu braquer sa lanterne ?

Présidentielle sans fin Présidentielle sans fin
Ce que l’on vit, maintenant, c’est l’après deuil des « grandes idéologies ». L’URSS est morte il y a trente ans et nombreux, alors, furent ceux qui pensaient à l’avènement d’un règne de l’après, confondu par certains avec la « fin » de l’histoire. Et puis l’on s’est rendu compte que cette « fin de l’histoire » contenait en elle-même quantité de virus clandestins, impossibles à détecter, qui n’obéissaient à aucune logique déjà expérimentée. On disait : « fin des grandes idéologies » alors même que c’était la notion de « fin » qui n’avait plus aucun sens.

Soir d’hiver Soir d’hiver
La fin de l’année s’approche, dans un climat de drôle de guerre. On croyait pouvoir se donne la fraîcheur intime d’un prochain Noël et voilà qu’il faut à nouveau astiquer les seringues. C’est le moment de ressortir un vieux NRF, cru 1977 entretenu au fil des mois, des ans, par celui qui en fut le promeneur mystérieux, Marcel Arland, plus que n’importe quel autre.

> Tous les articles
Rechercher
Ok

Ce site utilise des cookies nécessaires à son bon fonctionnement. Pour plus d’informations et pour en paramétrer l’utilisation, cliquez ici. En poursuivant votre navigation sans modifier vos paramètres, vous consentez à l’utilisation de cookies.